Le poil à gratter…
Lettre d’information de Cynorrhodon – FALDAC
www.cynorrhodon.org
N° 1 – octobre 2012
ISSN 2264-0363
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Claude Briand-Picard
Géométries du quotidien
du 22 septembre au 11 novembre 2012
Galerie Réjane Louin – 19 rue de l’Église – 29241 LOCQUIREC
(fermeture exceptionnelle les samedi 6 et dimanche 7 octobre)
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Claude Briand-Picard se comporte comme un héritier des mouvements de
l’abstraction américaine et européenne des années 70, un héritier qui en aurait
soldé les aspects théorisants pour ne retenir et ne développer que deux de ses
composantes essentielles : la relation du corps de l’artiste et du
regardeur à la peinture, et la libération de la couleur et de la forme de leurs
carcans traditionnels.
La
couleur et son rôle dans la peinture constituent, depuis des siècles, un enjeu
de déchirements entre deux armées campant sur des positions antithétiques, un
extrême étant défendu par Poussin :
Les couleurs dans la peinture sont des leurres
qui persuadent les yeux, comme la beauté des vers dans la poésie.
l’autre par Delacroix :
La couleur est par excellence la partie de l’art
qui détient le don magique. Alors que le sujet, la forme, la ligne s’adressent
d’abord à la pensée, la couleur n’a aucun sens pour l’intelligence, mais elle a
tous les pouvoirs sur la sensibilité.
Claude Briand-Picard renvoie ces deux points de vue
dos à dos en ne faisant plus de l’acte de peindre, comme il l’a été pendant des
siècles, une pratique de recouvrement d’une surface mais une démarche
expérimentale de collecte et d’assemblage. Il renie ainsi, d’emblée, toute
velléité d’identification. Il s’inscrit dans la démarche initiée par Duchamp,
empruntant matériaux colorés et formes élémentaires au monde de la grande
consommation ou à celui de l’industrie. Dans cette démarche, essentiellement
ludique, qui enchaîne, non sans une certaine dose d’humour et d’ironie,
appropriation, détournement puis réhabilitation –
voire transfiguration – du banal, il définit un autre mode de relation
du corps de l’artiste à l’œuvre en gestation. Il altère et redéfinit également,
de façon tout aussi radicale, la relation du spectateur à l’œuvre, l’engageant
dans une démarche inverse de celle de l’artiste : de la délectation visuelle
à la prise de conscience de la banalité des matériaux constitutifs. Selon les
propos de son collègue Antoine Perrot, les repères esthétiques traditionnels
sont, chez lui, floués par des œuvres qui adoptent et magnifient tous les
reproches faits à la couleur depuis des siècles : trop crue, trop populaire,
trop féminine, trop irrationnelle, trop sensuelle…
L’abandon
du geste de recouvrement d’un subjectile par de la couleur ne va cependant pas
jusqu’à la négation de la technique, telle que Duchamp la revendiquait. Bien au
contraire, chez Claude Briand-Picard, le recours au readymade color
n’exclut ni une certaine forme de virtuosité ni des références à des modèles et
à des maîtres du passé. Si, dans ses premières productions relevant de cette
pratique, l’artiste se cantonnait dans des gestes élémentaires, dans des
opérations simples qui déterminaient la prolifération de la couleur dans
l’espace, sa pratique actuelle se fait plus virtuose, plus inscrite dans la
lignée d’une tradition séculaire. Il s’autorise même parfois des interventions
plus traditionnelles – touches ou retouches d’encre ou de couleurs – sur les
matériaux colorés readymade assemblés : il souligne leurs
articulations ou en accentue une caractéristique. Si l’on poursuivait le
parallèle avec Duchamp, on pourrait dire de Claude Briand-Picard qu’il recourt
à la pratique du readymade color rectifié. D’une certaine façon,
l’artiste mène ainsi à son terme la réflexion de Maurice Denis sur la nature de
la surface picturale[1], faisant aussi écho au propos d’Oscar Wilde
dans Le Portrait de Dorian Gray : L’art est toujours plus
abstrait que nous ne l’imaginons. La forme et la couleur nous parlent de forme
et de couleur, et tout s’arrête là. Car, il ne faut pas l’oublier, le
primat de la couleur fait de Claude Briand-Picard un peintre avant tout, même
quand il investit la troisième dimension.
Claude
Briand-Picard ne renie pas non plus l’aura dans sa définition benjaminienne – l’unique
apparition d’un lointain, quelle que soit sa proximité[2] – et n’adhère pas plus à la contre-définition
qu’en donne Duchamp – c’est le spectateur qui fait l’œuvre –. Les œuvres
de Claude Briand-Picard ne ressortissent pas aux productions de la culture de
masse, ne sont pas de ces purs produits de fausse conscience, tels
qu’Adorno les définissaient. Elles restent uniques, font référence à l’histoire
de l’art et sont foncièrement polysémiques. Prenons, par exemple, ses récentes
compositions à partir de rideaux de douche en matière plastique, plissés et
assemblés par thermoformage avant d’être présentés frontalement, au mur. La
première lecture est celle d’une composition s’inscrivant dans une esthétique
du XVIIIe siècle, de la préciosité du rococo, plus précisément. Mais, quand le
regard pénètre un peu plus dans la foisonnante luxuriance des couleurs,
l’atmosphère des compositions de Klimt s’impose, au point même de ne pas
pouvoir s’empêcher de vainement chercher à identifier, sur le fond profus, une
forme humaine, une silhouette. Ce n’est que dans une phase ultérieure, après
plusieurs phases d’errance dans de multiples cheminements de lecture, que le
regardeur prend conscience du processus de construction de l’œuvre et de la
banalité de ses matériaux…
Ailleurs,
Claude Briand-Picard proposera ses relectures, souvent ironiques, jamais cruelles,
mais toujours ludiques, d’œuvres de maîtres du XXe siècle ou de ses
contemporains, de Piet Mondrian à Dominique De Beir, en passant par Fritz
Glarner, Aurelie Nemours, Claude Viallat et Antoine Perrot. Il reproduira
minutieusement, à l’échelle 1, le calvaire qui se dresse à quelques pas de sa
résidence-atelier de la presqu’île de Rhuys. Seule différence avec l’original,
la surface de granit est remplacée par un assemblage de briquettes multicolores
en matière plastique, telles les écailles sur la carapace d’un pangolin
géométrisé ou la peau d’un très improbable reptile. Plus loin, un assemblage de
Que sais-je ?, dont les couleurs des couvertures sont subtilement
nuées, propose une relecture autre des damiers colorés de Richard Paul Lohse.
Des agitateurs pour cocktail, des touillettes pour café, des cuillers
comme on en trouve dans les petits pots de crème glacée, des pailles pour
consommer des sodas, tous en matière plastique dans des couleurs criardes,
constituent autant de points de départ pour des œuvres rigoureusement
construites, que n’auraient pas reniées les tenants les plus orthodoxes de l’Art
Concret. Mais avec, en sus, cette dimension ludique en forme de pied de nez
ou de pirouette, pour rappeler que, au-delà de tous les discours pontifiants,
l’art reste avant tout un jeu, pour l’artiste et pour le regardeur. Art du
jeu ? Jeu de l’art ? Jeu dans l’art ? Les trois, dans une
démarche qui provoque – ou invoque ? – simultanément Valery, Hegel et
Bachelard.
Dans
un registre moins influencé par l’abstraction géométrique, des bandes adhésives
de récupération, collées, sinueuses, sur des grandes feuilles de papier calque,
des emballages du journal Le Monde, froissés et collés, des éponges à
usage domestique, des disques à démaquiller en coton, de grandes allumettes
pour barbecue, tous utilisés tels quels ou discrètement rectifiés,
servent de points de départ à des assemblages dont les qualités plastiques ne
sont en rien affectées, altérées ou minimisées par la banalité du matériau. Et,
partout, même dans les rares compositions à dominante en noir et blanc, la
couleur readymade, parfois rectifiée, transfigure les formes
normalisées, banalisées, dépersonnalisées, renvoyant étrangement au propos
d’Yves Bonnefoy : La peinture peut être poésie. La couleur n’est-elle
pas là pour jeter d’un coup toute sa profondeur dans le discours du tableau ?[3]
Louis Doucet, septembre 2012
[1] Se rappeler qu’un
tableau, avant d’être un cheval de bataille, une femme nue ou une quelconque
anecdote, est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un
certain ordre assemblées, in revue Art et Critique, 30 août 1890.
[2] Die einmalige
Erscheinung einer Ferne, so nah sie auch sein mag.
[3] Extrait d’une interview
dans Le Monde de l’Éducation, septembre 1999.
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Les dessins de Régis Sénèque
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Régis
Sénèque est un artiste aux productions protéiformes. Il excelle dans le dessin,
dans les installations et dans les œuvres en volume, mais la photographie reste
son moyen d’expression de prédilection. Plus encore, cette technique structure
ses œuvres, quelle que soit leur mode d’expression. Elle en constitue l’épine
dorsale, le fil d’Ariane dans un labyrinthe qui accède à l’universalité en
recourant à des références toujours personnelles. On se souviendra, notamment,
des photographies de mains de la série je-u, ou le double dans un lieu
multiple, d’une extrême simplicité dans leur sujet mais débordantes
d’expressivité, sources de pure émotion, le corps de l’artiste renvoyant le
spectateur à sa propre lecture, à son histoire, à son expérience – tactile,
sensorielle et émotionnelle – personnelle, à son intimité. Ses dessins
n’échappent pas à cette prévalence de la technique photographique, mais d’une
autre manière. D’une certaine façon, ils répondent à l’anxiété d’Ingres quand
celui-ci déclarait : «La photographie, c’est mieux qu’un dessin,
mais il ne faut pas le dire.»
Régis
Sénèque utilise un support du commerce, conçu pour les revêtements muraux. Il
s’agit d’un intissé blanc et lumineux, uniformément bosselé sur sa surface. Le
crayon de couleur laisse du gris sur les protubérances et préserve les creux.
On est, ici, proche de la technique des pointillistes, mais sans la couleur,
dans une approche qui ne peut que renvoyer aux dessins en noir et blanc de
Seurat. On ne peut pas, non plus, s’empêcher de penser à une photographie en
noir et blanc, démesurément agrandie, jusqu’à ce que la pixellisation
commence à en brouiller la lecture. Pirouette en forme de réponse ou de pied de
nez à Walter Benjamin et à sa problématique de reproductibilité technique ?
Contre-proposition à la position barthésienne : «Ce que la photographie
reproduit à l’infini n’a lieu qu’une fois»[1]? Écho du propos de Kafka :
«On photographie les objets pour les chasser de son esprit»[2]? Nostalgie évoquée par Martine
Franck : «Une photographie, c’est un fragment de temps qui ne
reviendra pas» ? Contre-pied du propos de Stuart Mill «La
photographie est une brève complicité entre la prévoyance et le hasard»[3]?… Tout ceci et bien d’autres
choses encore.
Dans les dessins de Régis Sénèque, la technique
divisionniste oblige le spectateur à un déplacement, à une appropriation de
l’espace environnant. Pour pleinement prendre conscience de ce qui est figuré,
le regardeur doit reculer et avancer plusieurs fois, pour voir se dégager, des
pixels indéchiffrables, une image qui se précise progressivement quand il prend
de la distance, puis se dissout de nouveau quand il effectue le mouvement
inverse. Métaphore du processus de mise au point d’un appareil
photographique ? Peut-être, mais, plus probablement, ce trouble d’un
froissement tridimensionnel, selon l’expression fort pertinente de Bernard
Point[4], suggère le procédé de mise en abîme cher aux
artistes de tous les temps, d’un abîme réflexif, comme celui évoqué par
Nietzsche[5], dont l’exploration est source d’infinies
interrogations :
Dans
l’abîme sans fond mon regard a plongé.
De l’atome au soleil j’ai tout interrogé.
Alphonse de Lamartine,
in Premières méditations poétiques
Les
dessins de Régis Sénèque imposent une réflexion sur le temps. S’ils tiennent,
en première lecture, de l’instantané photographique et de la notion très
mécanique de temps de pose, leur réalisation demande du temps, un temps
du labeur, à une autre échelle, plus humaine. Il en est de même de leur
déchiffrement par le regardeur, lequel n’a rien d’immédiat, d’instantané. La
brièveté n’est pas de la partie, pas plus que la prévoyance ou le hasard. Et si
complicité il y a, c’est plus avec le spectateur qu’avec le sujet qui est
figuré. Il y a, dans ces dessins, simultanément, un peu de la définition que
Simone Weil donnait de la mort –
État instantané, sans passé ni avenir. Indispensable pour l’accès à
l’éternité[6] –, de cette caractéristique du plaisir
relevée par Paz
– Le plaisir est instantané parce que l’homme résiste mieux au temps qu’à
l’éternité – et de l’inexorable fuite du temps soulignée par Virgile :
Fugit irreparabile tempus[7]. Nature morte ou vanité ?
Probablement les deux et plus encore… À la fois mémorial et intermédiaire[8],
le dessin, chez Régis Sénèque, répond
donc à sa définition existentielle, ontologique, pourrait-on dire.
En
un temps où la couleur devient omniprésente, envahissante, importune, Régis
Sénèque se confine dans le noir et blanc. Il en résulte un regard presque
clinique, impersonnel et comme distancié, sur le monde, mais sans la moindre
froideur ni antipathie. De fait, ses dessins résultent, le plus souvent, d’un
lent glissement de l’individuel, de la sphère de l’intime, du moi intérieur,
vers la dimension publique, vers l’universel. L’artiste nous fraie un passage
d’un réel trop présent vers une fiction à découvrir, à disséquer. La lumière et
l’aérien y prévalent, suscitant l’empathie. L’artiste ne met pas d’emblée ses
tripes sur la table, mais, par de subtiles inférences, nous propose de
multiples voies d’accès à son propre univers. La clé est sur la porte. Nous
sommes invités à la pousser, à entrer, mais rien ne nous y oblige, si ce n’est
une saine curiosité, une sorte de pulsion visant à transmuer un plaisir
instantané en une éternité...
Dans
ses dessins les plus récents, Régis Sénèque s’affranchit du format
rectangulaire en nous proposant des œuvres découpées, présentées, non pas
fixées au mur, mais à une petite distance de celui-ci, juste assez pour que la
feuille y projette un ombre. La découpe ne suit pas nécessairement le contour
du motif dessiné, mais impose sa forme propre – double si l’on considère son
ombre projetée sur le mur – qui peut, selon les cas, borner l’expansion d’un
dessin proliférant ou offrir des plages de respiration, des possibilités
d’envol à des propositions plus concentrées et réflexives. On assiste ainsi à
l’introduction d’une troisième dimension, plus mentale, d’ailleurs, que
physique, réifiant le dessin tout en le désignant comme fragment. Un fragment
dont l’incomplétude présumée s’avère fausse, un peu à la façon dont une portion
d’hologramme porte potentiellement en elle l’intégralité de l’image. Le
parallèle avec les précieuses miniatures et les petits formats en noir et blanc
de Philippe Favier s’impose à l’esprit.
Dans
cet exercice, apparemment vain, consistant à vouloir réaliser une photographie
à la main, en partant de ses composants de base, de ses pixels,
il y a probablement un peu de dérision, mais, aussi et surtout, une remise en
cause cinglante, par les moyens mis en œuvre par ses tenants même, de tout un
courant hyperréaliste qui place la virtuosité technique devant le contenu et la
sensation. Régis Sénèque, dans ses dessins, prend aussi à contre-pied les
réflexions de Walter Benjamin sur la photographie et sa réification. Il n’est
plus question, ici, de reproductibilité technique, ni même de productibilité
mécanique, mais de productibilité manuelle. C’est donc à une redécouverte, à un
repositionnement de la photographie, que nous convie l’artiste et, ce, par un
recours à des techniques autres que celles de la photographie. Ingres peut donc
dormir en paix : dessin et photographie peuvent coexister pacifiquement,
se nourrir mutuellement l’un de l’autre, sans pour autant s’entre-dévorer…
[1] In La Chambre claire.
[2] «Man
photographiert Dinge, um sie aus dem Sinn zu verscheuchen», in Der Verschollene.
[3] «Photography is a
brief complicity between foresight and chance.»
[4] In notice de
l’exposition Régis Sénèque – mon intérieur cet espace commun, Galerie du
Haut-Pavé, du 1er au 26 juin 2010.
[5] «Wenn du lange in
einen Abgrund blickst, blickt der Abgrund auch in dich hinein» (Si
tu plonges longtemps ton regard dans l’abîme, l’abîme te regarde aussi), in
Jenseits von Gut und Böse, aphorisme 146.
[6] In La Pesanteur de
la grâce.
[7] In Géorgiques, III-284.
[8] Voir Louis Doucet, Petits
papiers, in Subjectiles III, éditions Le Manuscrit, 2012.
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Quelques acquisitions récentes
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Kei MITSUUCHI |
Nicolas CHATELAIN |
Régis SÉNÈQUE |
Charles-Henry FERTIN |
Max LANCI |
Frédéric BOUFFANDEAU |
Valérie BLIN-KADDOUR |
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Subjectiles III
vient de paraître
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Ce troisième volume de Subjectiles diffère des
précédents. Au-delà des textes monographiques consacrés à de jeunes
artistes, on y trouvera quatre relectures ou commentaires de chefs-d’œuvre
du passé, des considérations sur la thématique de l’inéluctable émergence
du dessin et de la peinture numériques et des prises de position sur le
triste sort que la société française réserve à la création contemporaine
et à ses acteurs.
Les véritables créateurs sont, aujourd’hui,
tenaillés entre une mode institutionnelle qui promeut des productions dont
l’Histoire ne retiendra rien et une réaction conformiste, rétrograde, qui
tente de faire resurgir des modèles éculés. Étouffer l’art de notre temps,
ce n’est pas seulement prendre le risque de passer pour des imbéciles aux
yeux des générations futures, mais c’est surtout rater une immense
opportunité de promotion de la diversité intellectuelle. C’est manquer une
chance unique pour notre société en quête de valeurs, de plus de sens, de
plus de cohérence.
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Titre |
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Subjectiles II |
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James Fancher - Un artiste américain |
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De Dialectica |
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Exercices d'écriture |
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Images I |
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Les mites au logis |
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Poésies incomplètes |
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À ne pas rater...
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Sur une invitation de Jacqueline Boissier
Rencontres d’octobre
Carte blanche à Olivier Delavallade
Marie-Claude Bugeaud – Nicolas Chatelain – Pierre Tual
Vernissage le jeudi 11 octobre 2012, de 18h à 21h
Exposition du 12 au 27 octobre, du mardi au samedi, de 14h à 18h
11 rue des Blancs-Manteaux – 75004 PARIS
Memento
Carte blanche à Karim Ghaddab
Stéphane Belzère – Denis Laget – Michaële-Andrea Schatt
Exposition du 22 septembre au 24 novembre
L’H du Siège – 15 rue de l’Hôpital du Siège – 59300 VALENCIENNES
Jamais toujours le même
Samuel Aligand – Gabriele Chiari – Olivier Michel
Exposition du 28 septembre au 17 novembre
Service Culturel Municipal – 58-60 avenue Raspail – 94250 GENTILLY
Velours noir
Élise Beaucousin
Exposition du 3 octobre au 3 novembre
Galerie Cour Carrée – 107 rue Quincampoix – 75003 PARIS
Patrice Pantin
Exposition du 11 octobre au 10 novembre
La Galerie particulière 2 – 11 rue du Perche – 75003 PARIS
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